-->

jeudi 27 janvier 2011

Rencontre et débat au Musée du Quai Branly à l’occasion de la parution de Poils et Sang

Samedi 12 février 2011 à 14h30

Lieu : Salon de lecture Jacques Kerchache - Musée du Quai Branly.


Poils et sang

ouvrage publié sous la direction de Dimitri Karadimas
(Paris, L’Herne, 2010, collection « Cahiers d’anthropologie sociale » n° 6)

En présence d’une partie des auteurs :

A.-M. Brisebarre, S. D’Onofrio, C. Fortier, J.-P. Goulard, D. Karadimas, M. Moisseeff, et P. Touraille

de C. Bromberger (auteur de Trichologiques. Une anthropologie des cheveux et des poils), discutant

et de Laurence Tacou, directrice des Éditions de L’Herne


Poils et sang,
dirigé par D. Karadimas
Cahier d'anthropologie sociale
15 € - 160 pages

Plus d'informations

Cranford présenté par Le choix des libraires


Auteur : Elizabeth Gaskell

Traducteur : Béatrice Vierne

Date de saisie : 29/05/2010

Genre : Romans et nouvelles - étranger

Editeur : Herne, Paris, France

Prix : 18.00 € / 118.07 F

ISBN : 978-2-85197-906-3

GENCOD : 9782851979063

Sorti le : 03/12/2009



Voir le site

mardi 25 janvier 2011

"Le citoyen de verre, entre surveillance et exhibition", de Wolfgang Sofsky


Le citoyen de verre, entre surveillance et exhibition
de Wolfgang Sofsky
Préfacé et traduit de l'allemand par Olivier Mannoni
Essai
13,50 €
176 p.

En librairie le 02 février 2011

Le citoyen de verre, de Wolfgang Sofsky

Le site "nonfiction.fr" recense "Zone interdite" d'Hakim Bey

Cinq pistes de résistance à l’État et au marché ?

Hakim Bey s'est rendu mondialement célèbre dans les milieux contre-culturels en publiant Zone d’autonomie temporaire . Dans ce texte, il proposait de mettre en oeuvre des espaces de résistance autonomes et éphémères. Il ouvrait ainsi une voie qui entendait transformer immédiatement les modes de vie sans attendre une révolution globale devenue incertaine. Il a pu, en ce sens, être une référence du mouvement squat, des pionniers d’Internet et, plus généralement, de tout un milieu alternatif qui se retrouvait dans la mise en place d’expérimentations collectives libertaires refusant la dépendance à des pouvoirs publics institués. L’anarchisme dont se réclame Hakim Bey est un individualiste prônant un style de vie, une transformation de la vie quotidienne ; un anarchisme qui trouve sa source chez Nietzsche, dans les milieux libres individualistes de la Belle époque, les communautés des années 1960-70 ou dans le situationnisme…

Irène Pereira

Lire l'article


Zone interdite, Hakim Bey

88 pages - 9,50 €

lundi 24 janvier 2011

Le blog "La ruelle bleue" recense "Une famille de vampires" d'Alexis Tolstoï

Dissipons immédiatement tout malentendu en attirant votre attention sur le fait que ce recueil de deux nouvelles fantastiques a été écrit par Alexeï Konstantinovitch Tolstoï, et non Lev Nikolaïevitch Tolstoï, le célèbre Léon, cousin éloigné de l’auteur qui nous intéresse ici.

Ensuite, précisons que les deux textes1, petites merveilles de langue classique, ont été rédigés en français par Alexeï à l’âge de 24 ans. Avec « Rendez-vous dans trois cents ans » et « La famille du Vourdalak », le jeune russe prouvait qu’il maniait notre langue en véritable aristocrate et homme de cour.


Lire le billet entier


Une famille de vampires

Alexis Tolstoï

Carnets

112 pages - 9€50

jeudi 20 janvier 2011

Causepsy.fr recense “Œdipe mimétique”

« Voici un petit ouvrage de 120 pages de Mark Anspach, paru aux Éditions de L’Herne en 2010, en même temps que le fameux livre de M. Onfray. L’ouvrage, moins volumineux, n’a pas bénéficié du même tapage médiatique que Le Crépuscule d’une idole, son contenu en est de loin plus réfléchi, plus intéressant et moins axé sur l’écriture spectacle. La préface de René Girard est suivie d’un entretien de ce dernier avec l’auteur.

« Selon M. Anspach c’est l’imitation du père qui prime le désir de la mère. Pourquoi pas ? (…) Que le mimétisme soit une réalité humaine et même animale, est un fait incontestable ; mais vouloir faire de cette fonction mimétique le moteur de l’humanité et de la civilisation est tout de même un peu osé. (…) La fin de l’ouvrage est consacrée à une analyse de Freud et de son environnement familial (…) Les parallèles sont stupéfiants. Les trente dernières pages de l’ouvrage sont d’une rare finesse d’analyse et l’exercice est pleinement réussi. »

Lire l'article entier


Œdipe mimétique

de Marc Anspach

Carnets

9,50 €

jeudi 13 janvier 2011

"Le judaïsme n'est pas une question de sang" de R. Gary recensé par le journal "The Forward"

"December 2, 2010, marked the 30th anniversary of his death, but the French-Jewish novelist Romain Gary, born Roman Kacew in Vilnius in 1914, has never been more current. And as if to prove it, an insightful new biography, “Romain Gary: A Tall Story” by David Bellos, appeared recently from Harvill Secker.

Bellos, an expert translator and biographer of the intricate French-Jewish author Georges Perec, is an experienced guide to abstruse literary machinations. It’s just as well, since the life and work of Gary might baffle a less astute guide. Gary wrote under a half-dozen different pen names — sometimes directly in English, which he mastered inadequately — and scattered misleading misinformation about himself throughout books and interviews..."



Lire l'article

Le judaïsme n'est pas une question de sang, R. Gary
Coll. Carnet
68 pages - 9,50 €


Zone interdite de Hakim Bey déjà en librairies

Sorte de Guy Debord américain, Hakim Bey est devenu une référence obligée de la contre-culture, en inventant un concept qui a fait le tour du monde, la « Zone d’Autonomie Temporaire ».

Zone interdite
de Hakim Bey
Préface d'Alexandre Lacroix
Traduit de l'anglais par Sandra Guigonis

9,50 € en vente dans les meilleures librairies

Zone interdite, de Hakim Bey

mercredi 12 janvier 2011

"Pourquoi la guerre ?" de A. Einstein et S. Freud, déjà en librairies !

Afin de servir la cause de la paix, entre juillet et septembre 1932, l’Institut de coopération intellectuelle de la Société des Nations lançait un débat entre intellectuels renommés.
Einstein s’adressa à Freud pour lui poser la question suivante : « Que peut-on faire pour détourner des hommes la fatalité de la guerre ? ». Autrement dit, est-elle une fatalité intrinsèque à la nature humaine ou y a-t-il des espoirs envisageables ?
Freud, à l’aune de ses théories psychanalytiques, livre des éléments de réponses sans concession au centre desquels brille le soleil noir de la pulsion de mort. L’homme porte en lui une pulsion destructrice constitutive, la guerre en ce sens semble inévitable car elle correspond à un instinct en nous. Comment alors sortir du cercle infernal ?
Pourquoi la guerre ? offre au lecteur un échange intemporel entre deux des plus grands esprits du siècle dernier.












Pourquoi la guerre ?
, A. Einstein/S. Freud
Coll. Carnets
64 pages - 6,50 €

Lire les premières pages

"Le mensonge" de Saint augustin, déjà en librairies !

« Qui n’a jamais menti ? » La capacité de mentir partout et à tout âge est une réalité universelle et les exemples sont multiples. Le xxe siècle a connu un déploiement sans précédent de violences et de violations physiques, morales, sociales et spirituelles, fondées sur des propagandes éhontées et perpétrées avec une arrogance inouïe, affichées au grand jour.
Langue de bois, subterfuges, désinformation, les exemples sont innombrables tant le mensonge est polymorphe. Pas un peuple, pas une langue au monde qui n’ait de dicton ou de proverbe où il est fait mention de mensonge, fausseté, tromperie ou fourberie. C’est dire l’observation pertinente de la vie quotidienne et la préoccupation inquiète que produit universellement cette perversion profonde et récurrente, qui trouble la communication et la relation entre les humains.
Assurément, le mensonge est une question très importante et vaste. Ce texte de Saint Augustin, souligne la relation d’étroite dépendance du concept de mensonge à l’égard de celui d’intentionnalité et bien qu’écrit pendant l’Antiquité, il continue d’interroger nos conceptions modernes de la liberté et de la nature humaine.

Le mensonge, Saint Augustin
Préface de Jean-Marie Salamito
Coll. Carnets
104 pages - 9,50€

Lire les premières pages

lundi 10 janvier 2011

"Vers l'abîme" d'Edgar Morin recnsé par le blog "Minuit moins une "


Le constat que fait Edgar Morin semble dévoiler d’une future situation catastrophique, si l’on n’est pas tout à fait dans l’abime du progrès, la crise généralisé en occident nous montre que l’on s’y dirige à pleine vitesse : « La crise atteint nos mythes majeurs : progrès, bonheur, maitrise du monde. […] Désormais, le futur lui-même est en crise : il n’y a plus de prédiction possible, sinon des hypothèses, des scénarios. »

Lire la suite du billet



Vers l'abîme,
Edgar Morin
192 pages - 11,90 €

lundi 3 janvier 2011

Paris Capitale du XIX siècle de Walter Benjamin au cinéma

Paris, capitale du XIXe siècle (version française) from Benjamin Bardou on Vimeo.

Dans son livre Paris capitale du XIXe siècle, le philosophe allemand Walter Benjamin tente une interprétation globale du XIXe siècle et de son équivoque modernité. Pour lui, "le capitalisme fut un phénomène naturel par lequel un sommeil nouveau, plein de rêves, s'empara de l'Europe". Ainsi, à Paris, au travers des travaux d'Haussmann, le capital remodèle l'espace et le temps de la ville.
Tout ceci constitue une expérience nouvelle pour le citadin, un sentiment bien décrit dans la poésie de Baudelaire, celui du choc de la grande ville.
Dans "L'éternité par les astres" Blanqui fait de celui-ci une vision d'enfer, c'est l'éternel retour du même.
On voit aussi à cette époque l'apparition de nouvelles techniques de reproduction comme la lithographie, la photographie puis le cinéma. [...] Ces techniques, une fois leur statut d'art conquis, constituent tout un imaginaire de la ville et du monde, etc.


Lire l'article


Paris, capitale du XIXe siècle
, W. Benjamin
9,50 euros - 64 pages

Entretien entre J-P. Avice et A. Hacen autour d'Yves Bonnefoy dans "La presse de Tunisie"

" Quels souvenirs avez-vous gardés de cette rencontre ? Le désir de poésie ne vous a-t-il pas pour ainsi dire caressé ? Peut-on fréquenter Yves Bonnefoy sans être tenté par la poésie ?

Ce que j’ai le plus retenu de ces moments, c’est une voix, une façon de faire entendre dans la poésie une parole autre que celle des conversations ordinaires, du «reportage», ou de la seule réflexion parce qu’elle prenait en compte la matière sonore des mots; une parole vivante adressée à chacun, et qui changeait la vie bien plus que les jeux des autres dans l’arbitraire et le silence des signes, une parole qui, loin des jeux des signes, avant les significations que l’on cherche à y deviner, s’entendait dans notre propre vie comme un appel. À propos de Baudelaire, Bonnefoy dit que jamais la vérité de parole n’a mieux montré son visage, c’est cela aussi que j’ai découvert grâce à lui, un visage, celui d’une vérité de la parole dans un temps où la réflexion, méfiante à l’égard des subterfuges des mots, interdisait le mot de visage comme ceux de vérité, de présence, de vie."

Extrait de l'entretien


Cahier Bonnefoy, dirigé par O. Bombarde et J.-P. Avice

320 pages - 39 euros

Lire l'entretien