vendredi 25 novembre 2011
Samedi 26 novembre : Conférence, débat, projection et lectures autour de la l'"Histoire de la folie" de Michel Foucault à l'Institut Suédois à paris
16:00 – 20:00
À L’INSTITUT SUÉDOIS
Conférence, débat, projection et lectures. À l’occasion de la parution d’Un succès philosophique. L’histoire de la folie de Michel Foucault (PUC/IMEC) et de Le Beau danger (Éditions de l’EHESS), l’Institut suédois et le Centre Michel Foucault organisent un après-midi autour de L’histoire de la folie à l’âge classique, commencé alors que Michel Foucault était lecteur à l’université d’Uppsala, en Suède, et publié en 1961.
Un livre, désormais classique, qui n’a pas cessé d’être au cœur de toutes les réflexions historiques et médicales autour du phénomène de la folie. Cette rencontre permettra d’entendre des témoins du séjour suédois de Foucault, de questionner le rapport du philosophe au cinéma, de réécouter Foucault nous parler de sa manière d’écrire et de se replonger dans cette histoire de la folie qu’on enferme, du Moyen-Age au 19e siècle. Avec les chercheurs Philippe Artières et Jean-François Bert, le cinéaste suédois Eric M. Nilsson, l’historien Antoine de Baecque, les philosophes Dork Zabunyan, Patrice Maniglier et Frédéric Gros.
En collaboration avec les Presses Universitaires de Caen, l’IMEC et les Éditions de l’EHESS.
Programme détaillé :
16:00
Introduction
Lecture 1 : Extrait de la préface de Michel Foucault à l'Histoire de la folie.
Table ronde 1 : Michel Foucault en Suède.
Avec : Eric M. Nilsson, Kristina Miquel (sous réserve), Daniel Defert, Philippe Artières.
17:30
Table ronde 2 : Michel Foucault et le cinéma.
Avec : Dork Zabunyan, Patrice Maniglier, Antoine de Baecque et Mathieu Potte Bonneville.
Pause
19:00
Conférence : Frédéric Gros « Folie et langage ».
Projection dans la salle Christina au 1er étage de deux films d’Eric M. Nilsson : À l’ombre et Trois traducteurs sur TomasTranströmer.
Hôtel de Marle
11 rue Payenne
75003 Paris
Entrée libre, inscription : institutsuedois@si.se
Cahier Foucault
Dirigé par Philippe Artières, Jean-François Bert, Frédéric Gros et Judith Revel
39€ - 416 pages
jeudi 24 novembre 2011
"Le Nouvel Observateur" recense le Cahier Colette
Colette, dirigé par Gérard Bonal et Frédéric Maget
Coll. Cahiers
336 pages - 39 €
J'aime être gourmande, Colette
Présentation de Gérard Bonal et Frédéric Maget
Introduction de Guy Martin
Coll. Carnets
104 pages - 9,50 €
mardi 22 novembre 2011
"La Gazette de Nîmes" recense "J'aime être gourmande" de Colette
Colette, dirigé par Gérard Bonal et Frédéric Maget
Coll. Cahiers
336 pages - 39 €
J'aime être gourmande, Colette
Présentation de Gérard Bonal et Frédéric Maget
Introduction de Guy Martin
Coll. Carnets
104 pages - 9,50 €
"BSC News" recense le Cahier Colette et "J'aime être gourmande" de Colette
Ainsi Colette, appelée en 1944 par Cocteau « plus gros mensonge de l’époque »ou encore « vieille danseuse nue du Lesbos Palace », avant que le même proclame solennellement, onze années plus tard, dans son discours de réception de l’auteure à l’Académie de Belgique « Jamais nous ne laverons assez Madame Colette de cette fausse bonhomie dont la légende l’affuble ». Cocteau en Frégoli, ce n’est pas une révélation. L’institution fut plus retorse avec celle qui lançait avec conviction « je veux faire ce que je veux ». On lui a tenu rigueur de bâtir une œuvre à l’écart des grands mouvements littéraires et idéologiques de la première moitié du XXe siècle.
Dirigé par Gérard Bonal et Frédéric Maget, ce volume regroupe 35 contributions, des textes, des lettres, des conférences inédites de Colette, des repères biographiques et un cahier iconographique : du lourd aérien résolu à démontrer l’heureuse singularité d’une œuvre.
Colette, dirigé par Gérard Bonal et Frédéric Maget
Coll. Cahiers
336 pages - 39 €
J'aime être gourmande, Colette
Présentation de Gérard Bonal et Frédéric Maget
Introduction de Guy Martin
Coll. Carnets
104 pages - 9,50 €
vendredi 18 novembre 2011
"Le Figaro Madame" recense "J'aime être gourmande" de Colette
J'aime être gourmande, Colette
Présentation de Gérard Bonal et Frédéric maget
Introduction de Guy Martin
Coll. Carnets
88 pages - 9,50 €
Nadia Agsous rend hommage à Colette et au Cahier de L'Herne sur le site "Oulala.net"
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Cahier Colette, dirigé par Gérard Bonal et Frédéric Maget
Coll. Cahiers de L'Herne
336 pages - 39 €
jeudi 17 novembre 2011
"Le Service littéraire" recense "La bonne mort" de Charles Maurras
La Bonne mort, Charles Maurras
Préface de Boris Cyrulnik
Introduction de Nicole Maurras
Coll. Carnets
88 pages - 9,50 €
"Le Point" recense le Cahier Maurras
Cahier Maurras, dirigé par Stéphane Giocanti et Axel Tisserand
Coll. Cahiers de L'Herne
392 pages - 39 euros
La Bonne mort, Charles Maurras
Préface de Boris Cyrulnik et introduction de Nicole Maurras
Coll. Carnets
88 pages - 9,50
jeudi 10 novembre 2011
Le "Figaro Littéraire" recense "La bonne mort" de Charles Maurras
Coll. Cahiers
392 pages - 39 €
La bonne mort, Charles Maurras
Préface de Boris Cyrulnik
Présentation de Nicole Maurras
Coll. Carnets
88 pages - 9,50 €
lundi 7 novembre 2011
Le quotidien suisse "Le Temps" recense le Cahier Colette
Coll. Cahiers
336 pages - 39 €
J'aime être gourmande, Colette
Présentation de Gérard Bonal et Frédéric Maget
Introduction de Guy Martin
Coll. Carnets
104 pages - 9,50€
"Le Littéraire.com" recense les Carnets Trollope
réservent au lecteur plusieurs surprises. La première : le romancier fameux pour ses vastes
fresques sur l’Angleterre victorienne raconte, ici, des histoires situées en France. La seconde :
nettement moins satirique que d’habitude, surtout dans Un amour de jeunesse, son écriture
peut faire penser à celle de Maupassant. La troisième : les nouvelles révèlent un Trollope porté
sur l’émouvant, plutôt que féroce comme on était accoutumé de le croire...
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Un amour de jeunesse, Anthony Trollope
Traduit de l'anglais par Béatrice Vierne
Coll. Carnets
80 pages - 9,50 €
Le château du prince de Polignac, Anthony Trollope
Traduit de l'anglais par Béatrice Vierne
Coll. Carnets
80 pages - 9,50 €
vendredi 4 novembre 2011
Gérard Leclerc recense le "Cahier Maurras" pour "L'Action Française"
Verlaine, m’a-ton dit, avait déjà eu l’occasion de saluer son tout jeune confrère. Plus tard, Proust sera dithyrambique, lui l’abonné de l’Action française, et Albert Thibaudet, peut-être le plus grand critique de la IIIe République, non content de lui consacrer un ouvrage, ne cessera de le citer et de le commenter dans la N. R. F. plus qu’aucun autre, à l’exception de Barrès. Seulement voilà, avec la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale et son obstination vichyste, l’auteur de l’Avenir de l’intelligence est devenu un des grands maudits de l’Histoire. On peut rééditer les romans de Céline, en dépit de la folie perverse de l’auteur des pamphlets (d’ailleurs dénoncée par l’antisémite de Martigues), les livres de Maurras les plus imposants dorment à l’abri des bibliothèques. C’est à ce point, qu’un Antoine Compagnon, spécialiste universitaire incontestable des penseurs contre-révolutionnaires a révélé qu’il lui avait fallu très longtemps pour accéder aux textes majeurs, notamment les tout premiers où s’est affirmée l’impressionnante singularité maurrassienne…
Cahier Maurras, dir. Stéphane Giocanti et Axel Tisserand
Coll. Cahiers
392 pages - 39 €