L’hebdomadaire Diva e Donna conseille à ses lectrices la traduction italienne du livre de René Girard sur l’anorexie, ce «pamphlet étonnant dans lequel le grand philosophe décortique avec une maestria stupéfiante les mécanismes des troubles alimentaires, faisant de cette maladie le miroir d’une société tout entière, et affrontant la beauté féminine moderne, de Kate Moss à Carla Bruni Sarkozy » (5 mai 2009).
Le quotidien Il Foglio annonce de son côté la parution d’un « merveilleux petit livre » et un chroniqueur du même journal, Camillo Langone, y voit « le dernier chef-d’œuvre de René Girard ». L’éditorialiste italien commente : « L’aigle de Stanford a tout vu, laissant croire, pour ne pas nous humilier, qu’on aurait pu le faire nous aussi : “Le problème n’est pas que ces troubles alimentaires sont trop complexes pour nos systèmes actuels d’interprétation. Le problème est qu’ils sont trop simples“… Il suffit d’observer la réalité… L’idéal pour lequel on vit et meurt aujourd’hui est sur les couvertures des revues, sur les affiches, dans les défilés… » (2 avril et 6 mai 2009).
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