Difficile de livrer son sentiment sur un essai quand on a perdu l’habitude d’en lire. Pourtant, le thème de cet ouvrage, reçu grâce à l’opération « Masse critique », m’intéressait à l’heure de la société « sans » risque ou règne un principe de précaution parfois envahissant mais érigé en commandement.
En effet, le sociologue et philosophe allemand se penche dans ce texte sur les pratiques de surveillance de notre époque et plus précisément sur leurs motivations. Est-ce le pouvoir, seul, qui aspire à s’étendre par nature et qui est responsable de cette société de surveillance ? Sont-ce, aujourd’hui, les populations qui aspirent à une société de surveillance dans laquelle l’émotion naît moins de l’atteinte aux libertés que de la réalisation du risque ?
En effet, le sociologue et philosophe allemand se penche dans ce texte sur les pratiques de surveillance de notre époque et plus précisément sur leurs motivations. Est-ce le pouvoir, seul, qui aspire à s’étendre par nature et qui est responsable de cette société de surveillance ? Sont-ce, aujourd’hui, les populations qui aspirent à une société de surveillance dans laquelle l’émotion naît moins de l’atteinte aux libertés que de la réalisation du risque ?
Le citoyen de verre, Wolfgang Sofsky
Préface et traduction de l'allemand par Olivier Mannoni
13€ 50 - 176 pages
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