On peut faire tenir le résumé en une phrase : M. Lacordaire, dont on ne sait rien, veut demander en mariage Ms Thomson, veuve, mère de deux jeunes filles, dont une placée en pension au Puy.
Trollope jette un regard tout en contradiction avec le titre. En lisant Le château du prince de Polignac, on s’imagine un univers plein de romantisme, d’amour … Or, l’auteur propose un récit empreint de pragmatisme où l’intérêt pratique du mariage est prépondérant…Lire la suite
Le château du prince de Polignac, Anthony Trollope
Traduit de l'anglais par Béatrice Vierne
Coll. Carnets
60 pages - 9,50
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire