L’art de mentir est l’occasion d’une méditation amorale sur l’art de « bien » mentir dans une société où l’apparence de vérité tient lieu de vertu. Puisque nous devons mentir, faisons-le bien. L’auteur se désole de la disparition du « mentir courtois » au profit de la vérité brutale. Tout est dans l’art et la manière. L’humour est cinglant.
Pourquoi j’étranglais ma conscience est de la même veine moraliste. Confronté à sa conscience, « son plus fidèle ennemi », l’auteur finit par l’étrangler. Libéré de tout remords, de toute culpabilité, il pourra donner libre cours, littérairement, à ses fantaisies les plus criminelles.
Pourquoi j’étranglais ma conscience est de la même veine moraliste. Confronté à sa conscience, « son plus fidèle ennemi », l’auteur finit par l’étrangler. Libéré de tout remords, de toute culpabilité, il pourra donner libre cours, littérairement, à ses fantaisies les plus criminelles.
L'art de mentir, Mark Twain
Avant-Propos de François L’Yvonnet
Coll. Carnets
9,50 € – 64 pages
L'Art de Mentir, de Mark Twain
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