À partir de 1909, le journal de Tolstoï mentionne souvent les miséreux et les mendiants qui défilent chez lui à Iasnaïa Poliana.
Dans ces trois chapitres, Tolstoï campe des personnages, décrit des atmosphères et nous donne à voir les situations qu’il dénonce. Il ne s’agit pas seulement d’un « essai », mais d’un texte qui a une vraie valeur littéraire et révolutionnaire. On perçoit ici toute la modernité, on ose presque dire l’actualité de ses propos qui concernent le chômage, les entreprises qui ferment, les sans-logis ou les impôts injustes. La dénonciation de Tolstoï garde de nos jours toute sa force.
Dans ces trois chapitres, Tolstoï campe des personnages, décrit des atmosphères et nous donne à voir les situations qu’il dénonce. Il ne s’agit pas seulement d’un « essai », mais d’un texte qui a une vraie valeur littéraire et révolutionnaire. On perçoit ici toute la modernité, on ose presque dire l’actualité de ses propos qui concernent le chômage, les entreprises qui ferment, les sans-logis ou les impôts injustes. La dénonciation de Tolstoï garde de nos jours toute sa force.
Préfacé, traduit et annoté par Bernard Kreise
Les chemins de la misère, Léon Tolstoï
Préfacé, traduit et annoté par Bernard Kreise
Coll. Carnets
9,50 € – 72 pages
Préfacé, traduit et annoté par Bernard Kreise
Coll. Carnets
9,50 € – 72 pages
Les chemins de la misère, de Léon Tolstoï
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