Vincent Piednoir Oui, cet échange est le plus important de ceux conservés en langue française. Le livre que nous proposons aujourd’hui complète celui publié par Le Capucin, il y a dix ans. Dans mon travail d’annotation, je me suis attaché à donner au lecteur les repères nécessaires à la compréhension non seulement de l’échange lui-même, mais aussi des différents contextes (biographiques, culturels, historiques, etc.) dans lequel il s’inscrit. Parfois j’ai paraphrasé Guerne, parfois je l’ai cité - car les échos, naturellement, sont nombreux d’une lettre à l’autre, comme dans toute correspondance digne de ce nom. Par conséquent, le livre du Capucin et celui de L’Herne peuvent aussi bien être lus de manière indépendante que comme l’ensemble qu’ils forment en définitive.
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