plus opulents, a fini par le conduire à sa per te. Il a entraîné à une mort prématurée ses fils, jeunes
gens forts et courageux, et sa fille Béatrix qui, quoiqu’elle ait été conduite au supplice à peine âgée de
seize ans (il y a aujourd’hui quatre jours), n’en passait pas moins pour une des plus belles personnes
des États du pape et de l’Italie tout entière. »
Stendhal a tiré une nouvelle remarquable de cet épisode tragique.
Les Cenci, Stendhal
Avant-propos de François L'Yvonnet
Coll. Carnets
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